« Des obus fouillaient la nuit, et nous allions dans leur direction. Nous nous engageâmes sous ce nouveau tir. Les
gros fusants, méthodiques et précis, éclataient de minute en minute, à vingt mètres au dessus..." (La Peur de
Gabriel Chevallier)
"Il n'y a ni vainqueurs ni vaincus, parce qu'il n'y a que des cadavres. Etre vainqueur ? C'est vivre. "
(La Peur de Gabriel Chevallier)